Points négatifs:
-J'ai eu du mal avec le début, il y a une certaine langueur et lenteur qui plombe un peu le rythme, en même temps, ça peut expliquer le tout début avec Michael. Il y avait certaines facilités parfois.
-La scène de combat: je ne l'ai pas trouvé très crédible en un sens. On ne comprend pas toujours le pourquoi du comment, même si à la base, ça part d'un bon sentiment. J'ai l'impression qu'on cherchait un prétexte. Difficile à expliquer...
-L'histoire d'amour: ça va vite je trouve, enfin surtout quand ils sautent le pas en fait, mais bon, j'ai quand même aimé.
Points positifs:
-J'ai trouvé que Robert Pattinson avait du mérite quand même, je crois réellement que ce genre de registre est quelque chose à renouveler, parce qu'il était plutôt bon. Le jeu d'Emily n'est pas trop mal: elle fait un peu petite fille rangée qui s'épanouit. Leur histoire est juste, même si on peut regretter un air de déjà vu, mais c'était tout de même jolie.
-La relation entre Tyler et Caroline: je l'ai adoré. Vraiment, tant d'amour et d'attachement, c'est magnifique
. Et puis j'ai bien aimé quand il balance l'extincteur
Quelles pestes les gamines...
-La relation avec le père: au début, je ne comprenais pas toute cette distance, mais on finit par comprendre de manière symbolique que le père aussi vivait sa peine à sa manière. les images des photos qui défilent sur l'ordi sont justes attendrissantes
Il aime réellement ses enfants, mais c'est comme s'il s'était fermé et c'est encore plus tragique que c'est lorsqu'il semble s'ouvrir qu'il perd un autre de ses enfants
-L'ironie tragique du film: c'est triste à dire, mais la fin sonne vraiment comme une tragédie en un sens, avec une pointe d'ironie: "Quelle belle journée!" qu'elle annonce la secrétaire, et bien, c'est d'autant plus bouleversant qu'on n'attend pas le drame final (j'avais les larmes aux yeux), parce qu'on pense que les choses vont rentrer dans l'ordre. Et cela fait mal!!
-Le coloc Matt: bon second rôle, il a apporté souvent la touche comique
-J'ai trouvé que le titre était très symbolique et pas anodin: on sent bien toute la dimension de ces deux mots:
Remember me, en gros, ne pas oublier ceux qui sont partis et ceux qui sont aussi vivants.